Chats câlins
Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours eu des chats. Pour vous toutes qui aimez tant ces p'tites boules de douceur, voici encore quelques belles photos de mes petits compagnons, des chats de la famille ou des chats de rencontre.
D'abord, il y a eu Miel, un adorable petit Tigré angora. Trop craquant !
C'était le compagnon et le confident de mon petit garçon.
Fier et majestueux, il se sentait partout chez lui. A tel point qu'un jour, installé dans le fauteuil de nos voisins, il fallut que la voisine vienne nous chercher pour déloger le squatteur. Seul mon mari pouvait le prendre d'autorité sur ses épaules et lui intimer l'odre de rentrer à la maison. Histoire de mecs sans doute.
Puis, nous avons eu Tigrou, un bagarreur qui revenait cabossé de partout. Je lui soignais ses blessures et il restait immobile sans broncher, les yeux mi-clos en attendant que ça passe. Lorsque nous avons quitté notre pavillon à la campagne pour venir en ville, c'était pire encore. A tel point que la fourrière a failli l'emmener un jour jugeant son état trop critique en le voyant tout avachi sur le rebord d'un mur en m'attendant. Là encore, il a fallu que la coiffeuse proche de mon domicile m'appelle au bureau pour que je vienne lui sauver la mise. A peine me suis-je approchée de lui que déjà il était tout ragaillardi, câlin et enjôleur comme il savait si bien l'être. Les personnes de la fourrière n'ont pu que constater qu'il était loin d'être abandonné.
Et puis, il y a les chats de rencontre qu'on croise au détour d'un chemin ou dans une occasion particulière.
Et enfn, il y a eu Mia encore et toujours ...
Les chats ressemblent aux Dieux, il y a en eux je ne sais quoi de céleste et de mystérieux. Ils voient la nuit comme le jour et leurs yeux clairs semblent le reflet des astres (H.Cammas et Lefevre).
Bon d'accord, elle était un peu ronde. Il a fallu d'ailleurs la mettre un peu au régime, mais qu'importe. Quand on aime, on ne compte pas...les kilos superflus.
D'ailleurs, elle, ça la laisse rêveuse.
"Quand mes yeux vers ce chat que j'aime - Tirés comme un aimant, Se retournent docilement - Et que je regarde en moi-même, Je vois avec étonnement Le feu de ses prunelles pâles, Clairs fânaux, vivantes opales, qui me contemplent fixement. (Charles Baudelaire)
Et demain, quel petit Tigré viendra nous câliner ? N'ayez crainte, vous en serez les premières informées.